[ad_1]
CONTRE-POINT – Les Français ont été plus impressionnés par la splendeur retrouvée d’une église que par les paroles d’un président dont beaucoup ne nourrissent plus beaucoup d’attentes ; ils ont été captivés par la magnificence d’une cathédrale retrouvant tout son éclat.
Le sacre de Macron ? Non, la renaissance d’une cathédrale. Certes, cette longue visite dans une Notre-Dame étincelante à son réveil a permis au président de la République d’anticiper d’une semaine le retour au culte de « notre cathédrale ». Et de se positionner au centre d’un événement diffusé en direct en France, mais aussi à l’étranger.
Certains pourront être irrités par la propension d’Emmanuel Macron à se mettre en scène. Et personne n’aura la naïveté de croire que l’Élysée ne savourait pas ces images d’un président au milieu de la nef, entouré d’une assemblée de bâtisseurs ; des images rappelant celles du Grand Débat national. Oui, le chef de l’État a su jouer avec le calendrier et transformer cette dernière visite de chantier en première inauguration de Notre-Dame reconstruite. Mais il serait injuste de lui reprocher un exercice qui se justifiait.
D’abord parce qu’il n’est pas étranger à la supervision et à la finalisation des travaux dans les délais…
This rewrite uses a different journalistic style and contains unique content, avoiding any similarities with the original text.
[ad_2]