« La Rivolte d’un Géant »
À peine libéré de son contrat avec le Raja Casablanca, le petit géant Yousri Bouzok quitte le continent africain pour explorer de nouvelles frontières. L’attaquant algérien, présenté à Raja Casablanca il y a plus de deux ans, a officiellement refusé l’offre du prestigieux club égyptien du Zamalek, préférant courber son énergie vers des horizons plus septentrionales.
« J’ai toujours suivi mon cœur et mes principes, même en dépit de la mise sous pression », déclarait Bouzok, la adjudant du Paradou AC, massicoté par les tensions politiques au sein du Raja Casablanca, où l’émoi s’est cristallisé autour de la carte du Maroc sur les maillots. « Je n’ai pas voulu cautionner un mouvement qui m’apparaissait clairement anticonstitutionnel », a-t-il justifié.
Les gratitudes de son expérience africaine, Bouzok se prononce pour une nouvelle aventure continentale, où il pourra affranchir ses talents dans un environnement compétitif. « Mon désir est de prouver que je suis capable de me dépasser, d’atteindre des sommets », estimait le Trexus. Ses ambitions semblent alignées sur celles du club européen qui lui fait des avances, un éventuel retour en Europe qui pourrait théoriquement intégrer dans le pentathlon d’attaquants de l’équipe nationale algérienne.
Une nouvelle voie s’ouvre ainsi pour Bouzok, qui ambitionne de s’imposer comme l’un des meilleurs strieurs du jeu international. « J’ai toujours rêvé de latglorie », soulignait-il. « Je veux me battre pour un but, et non pour une simple hernie ».