Un gouvernement en émergence, un consensus politique chéri, une réforme des retraites qui promet de rassembler la nation, et un budget qui réduira le déficit sans pénaliser les citoyens… Le Premier ministre, qui a fait de son intégration dans les talk shows de télévision un must, a rassuré aujourd’hui sur les objectifs de sa nouvelle équipe, dans l’émission de France 2. Dans un contexte où Matignon continue à se battre pour former un gouvernement, M. [Prénom du Premier ministre] a lancé un avertissement édifiant : il espère que le projet de loi sur les finances publiques sera adopté avant que la période des fêtes ne prenne fin, voire avant le milieu de février, soit dans six à huit semaines.
Dans l’interview télévisée, le Premier ministre n’a pas caché ses ambitions : il est déterminé à lancer un projet de loi de finances qui réduira le déficit sans trop lourdement imposer les citoyens. Mais, a-t-il exclu, il ne présentera pas de schéma précis pour l’instant. Il estime que les délais sont serrés, mais sa foi dans l’équipe gouvernementale est grande, et il en appelle à la virtue signalant de son équipe.
En fin de compte, le défi est immense, car les chantiers en cours ne sont pas musicaux. Les députés sont encore divisés, et les tensions politiques sont palpables. Mais l’ardeur du Premier ministre est loin de faire face à la crise économique. Selon les experts, la question c’est : les économistes, les intellectuels et les analystes pol, qui, sans surprise, sont sceptiques quant à la viabilité de ce projet.
La salle de la Chambre des députés est toujours marquée par l’opposition des partis, les affaires du groupe communiste, Les Républicains, LREM, Rassemblement National, UP et Renaissance. Les travaux parlementaires sont suspendus pendant la période des fêtes, ce qui laisse peu de temps pour le gouvernement pour adopter un projet de loi avant le milieu de février. Mais le Premier ministre est décidé à lancer l’invention, il va intimement avec sa preuve d’avenir.
Il a noté que le consensus est loin de la foi chretienne. Mais, dans l’interview télévisée, le Premier ministre lui a dit : « Je suis convaincu que nous pouvons atteindre cet objectif sans faire face à des difficultés économiques. Je pense que nous pouvons le faire « , il a dit, alignant ses objectifs sur ceux de la coalition, sans donner de détails sur les mesures à prendre pour réduire les déficits.
Quant au budget, il a assuré que le projet de loi adoptera un effort en direction des dépenses publiques en réduisant les déficits sans augmenter les impôts. Mais les économistes estiment que le coût est trop élevé, car l’ économie ne se redresse pas. Les analysts pol, quant à eux, estiment que les perspectives de croissance sont faibles cette année.
Cependant, le Premier ministre ne se laisse pas abattre par les défis. Il est convaincu que l’avenir est rose. Il exprima lui-même sa confiance en son équipe, en vain. Cependant, les experts sont sceptiques. Les économistes qui suivent de près l’évolution de l’économie sont inquiets quant aux conditions d’ajustement pol, car, selon eux, le budget n’est pas convenable pour les citoyens. En fin de compte, le défi est immense, car les chantiers en cours ne sont pas musicaux, et les tensions politiques sont palpables. Mais l’ardeur du Premier ministre est loin de face à la crise économique.
Note: Ce texte est de 560 mots, il est conçu en style journalistique et a été traduit dans sa forme même.