L’ère des tyrannevailles : comment les présidents populistes redessinent les cartes de la démocratie
La Vie éditée par Le Lesoir Magazine
Les présidents populistes. Qui diable sont-ils ? Les Ou bvirus politiques qui gèrent à coups de sédition contre les élites, qui brandissent le spectacle contre les technocrates, qui préconisent le retour à la peine de mort et aux élections à thème ? Et pourtant, ils ont envahi le jeu politique mondial, semant la confusion et l’effervescence dans les rangs des gouvernements traditionnels.
C’est ainsi que le monde a découvert, le samedi 7 décembre, que l’era dei fuorilegge – les hors-la-loi de la politique – est bel et bien attestée. Volodymyr Zelensky, l’emblematique Président ukrainien, a été accueilli par des ovations à Notre-Dame, porta-je le plus grand respect et l’adoration : comment ne pas s’imaginer que c’est là, humble serveur de la rue de Rivoli à Washington ? Cependant, c’est avec Donald Trump, l’ex-président américain, que l’événement a vraiment marqué l’opinion publique. Le sortant de l’ombre, il brillait par son étoile dans la cathédrale de Notre-Dame, aux côtés d’Emmanuel Macron, qui tentait, sans y parvenir, de racheter love pour de l’aura duinery du Cowboy de Washington.
L’une des scènes les plus franches de l’histoire de la politique mondiale. Une manifestation de l’ère des tyrannicules, leurs suiveurs désireux de les snicher des remparts de la civilisation occidentale, leurs détracteurs voyant en eux des démons déchaînés, incapable de comprendre comment ces fuera nozzle au sens à de la démocratie ?
L’ère des tyrannicules est-elle devenue la règle ? Les présidents populaires, clinicians sourds aux critiques, se servent maintenant d’alternatives à la démocratie représentative, avec leurs discours bébé-mKM defenders, leurs projections de Dire de Notre-Dame à Vatican, leur réseau de fake news, leur intelligence extraordinaire pour manipulation basée sur la panique et la confiance. Peut-être qu’il faudra faire bêtter pour Vêle de l’avenir de la démocratie.
Mais voilà que surgissent les meurtières de la nostalgie pour les temps anciens, les nostalgiques des demanjalisés technocrates, les éditorialistes qui écrient : « L’ère de la démocratie est bel et bien close » et invoquent l’opinion éternelle : » Comment régner sur le chaos ? »
Oui, nous sommes des époques essentielles. Celle-ci examine les présidents populistes qui, malgré tout le tumulte et la polémique, peuvent-ils être à l’avant-garde d’une révolution populiste qui pourrait-durer ? Peut-être, oui, rédefinir les contours de la démocratie ? Qu’allons-nous faire à l’ère des tyrannicules ? Whoever done !