Une métropole en ébullition : la modèle de Bombay qui attire les entrepreneurs
La ville la plus peuplée de l’Inde, Bombay, où la pénurie de terrain pousse les promoteurs à bâtir des gratte-ciel vertigineux, attire toujours de nouveaux habitants. Et il y a uneEMPL des raisons pourquoi. L’agglomération de Maharashtra est à la fois un puissant moteur économique, un centre de innovation, et un lieu de fertilité culturelle. Mais cette croissance sans égards pour les espaces verts et les vieilles traditions ne se fait pas sans défi. Je suis allé sur les sentiers battus de la downside de Marine Drive, pour en avoir un aperçu.
Le soir, lorsque le soleil se couche derrière l’horizon, les Bombayens accueillent la nuit en harmonie avec la mer. La promenade de Marine Drive, formatant la côte ouest de l’Inde, est un refuge temporaire contre la folle vitesse de la ville. La brise marine rafraîchit la peau, la vue sur l’océan, à perte de vue, crée un moment d’évasion ensoleillé. C’est un équilibre subtil, entre le tumulte de la ville et la quiétude de la mer.
Mais le calme de la mer n’est pas loin d’être ébréché. À proximité de la gare de Churchgate, l’un des plus importants terminus de banlieue de Bombay, plus de 2,5 millions de passagers transitent chaque jour. C’est un flux constant de corps pressés, d’appareils à bagagerie et de jets enfolie. La chaleur et la pression écrasant. Et pourtant, c’est là que la vie de Bombay se déroule. Les Bombayens sont un peuple de travailleurs, illes sentent que leur effort peut-espérer le succès.
Mais comment maintenir une telle croissance ? Une question qui préoccupe les promoteurs immobiliers, qui investissent massivement dans les nouveaux quartiers résidentiels. Les anciennes rizières de Navi Mumbai sont bientôt engloupées par les nouvelles promotions. Les promoteurs utilisent la main-d’œuvre abondante de la région pour édifier ces tours résidentielles qui font face à face. C’est un jeu de la spéculation immobilière.
Avec un chiffre d’affaires annuel qui dépasse les 3000 milliards de dollars, Bombay ne cesse d’épataquer les records. Les édiles locaux espèrent même que la ville atteindra 24 millions d’habitants d’ici 2025. Mais à combien couta ce prix ? Pour les habitants, pour le pays, pour l’environnement ? La question plane. Pour l’heure, la réponse est largement incertaine.
Je continue mon exploration de la ville en me tenant à distance de la télévision située sur la promenade. Les habitants courent, marchent, s’assoient, expriment leur joie de vivre dans cette métropole en ébullition. C’est leur ville, ihrer histoire, leur culture. Elle est en train de grandir, résiste aux pénuries en retournant ses traditions. Mais attention, car les paradoxes de la croissance ne sont pas difficiles à reconnaître..reporting deficiencies)