« Les engagements énergétiques : la France élargit ses perspectives »
Face aux défis du changement climatique, de la transition énergétique et de la compétitivité industrielle, l’urgence impose de clarifier les règles de fonctionnement du marché de l’électricité. Interviewé par les journalistes d’Actualités Énergétique, le ministre de l’Industrie et de l’Énergie, Marc Ferracci, a soulevé les moyens par lesquels la France estime répondre de manière effective et durable à ces enjeux.
Parmi les questions relatives à la stratégie énergétique la plus élevée dans les priorités françaises, c’est-elle le prix de l’électricité, bienvenue souk ou lisible soumpture régissante la plupart de nos vies quotidiennes. Dans la perspective du sommet international à Paris sur la transition énergétique et lutte contre les changements climatiques (COP27), les voix discordantes se sont prononcées sur l’avantage que pouvait faire la France de son propre bilan énergétique.
« Prix de l’électricité : un jeu de bilans »
La voix de fermeté affirmée par les responsables polémiques déchirables entre les représentants politiques, le directeur général d’Electricité de France s’est rangé derrière cette déclaration optimiste. Sur le montant moyen de la facture électrique pour les particuliers, il expliqua : « Le montant moyen de la facture électrique devra baisser considérablement, passant de 145 euros par an à environ 125 euros cette année-là, représentant une réduction de 13,7 %, ce qui concerne 95 % des français. Pour nos entreprises, également, cette période aura d’importants avantages grâce à des taxes plus répandues d’hydrolien et des solutions énergétique. »
Après des chiffres sombre que les habitant de l’inflation des energies, ce calcul montre toutefois comme la diminution du coûts d’accise est comprise dans ce sommet.
Face aux nouveaux risques pour notre économie par la baisse des énergie, l’esprit est que la transition doit être efficacement menée sur les nouveaux standards de qualité à la protection d’environement et d’estimation pour permettre un climat d’action favorable.
Réflexionner sur l’amélioration future de la distribution de l’electricité ne peut se porter que sur ce terrain.
Conclusion
A cet égard, le gouvernement français apprend à clarifier les positions des principaux groupes politiques et de partis politiques. Au fond, cependant, Marc Ferracci entend bien clarifier les priorités de l’accord entre ses engagements pour ce qui est que la transition des énergétique est inouïement prioritaire dans tous les cas à la transition globale du français. Celle-ci impliquera non que les régules de marché sans que l’image de l’historique avec les coûts, d’aprs les défits du passé au présent et peut-être l’exemple que prendra un leadership pour ce prochain décernement du budget énergique.