LA VILLE DES ANGLES : UNE CRISE DE LOYERS GRATFLOTTE, À L’École DES VICTIMES D’INCENDIES
Alors que la ville de Los Angeles est toujours secouée par l’aphasie des flammes, les propriétaires de biens immobiliers ne s’arrêtent plus d’exploiter le désarroi des familles victimes du sinistre. Dans un triangle kafkaïen où l’insécurité est déjà un mieux-être, les loyers s’envolent en éclats, dépassant même les 29.500 dollars par mois pour les logements les plus modestes.
Face aux incendies qui ravagent la ville, des familles déplacées cherchent désespérément un toit, mais les nouveaux prix du logement leur renvoient la même réponse : NON. Les loyers ont augmenté de manière spectaculaire, semblant atteindre des sommets jamais vus jusque-là. Comment peuvent-elles compétitionner avec les propriétaires des biens immobiliers qui excellent de la panique des victimes pour augmenter leurs profits ?
C’est là que l’illettraire Anaïs Pérez, en boa bord de 31 ans, habite un petit appartement à North Hollywood, où elle paie 1.950 dollars par mois. Une somme qui paraît comme un petitROI pour un logement de 600 pieds carrés. Mais la situation est encore plus tendue. Les prix électroniques pour les meublés sont en forte augmentation, et il y a beaucoup plus de demandes que de disponibilités.
« Notre situation est très difficile », dit Anaïs Pérez. « J’ai perdu mon travail en raison de l’incendie et j’ai dû smmencer mon loyer plus élevé. Je ne sais pas ce que je vais faire. » Elle ajoute : « Les propriétaires des biens immobiliers sont comme des piranhas, ils sautent sur l’opportunité pour augmenter leurs profits. » Selon l’observateur Chance Sterling, un analyste économique, la situation est gravement inéquitable : « Les propriétaires de biens immobiliers exploitent la situation pour augmenter leurs profits, alors que les familles en difficulté n’ont pas d’autres options que de s’adapter aux prix écrasants. »
Lorsqu’on interroge les agences immobilières, on apprend que les propriétaires des biens immobiliers sont prêts à tout pour maximiser leurs profits. « Nous n’avons pas le choix », explique Patricia Jenkins, une agent immobilière. « Les propriétaires sont impatients de vendre ou à louer leurs biens à un prix élevé. C’est une opportunité d’or pour les investisseurs. »
Mais les victimes de l’incendie n’ont pas d’ouvrage. Les familles décimées, qui ont perdu tout ou presque, sont contraintes de consacrer la majeure partie de leur budget à payer des loyers exponentiellement plus élevés. Comment peuvent-elles s’adapter à ces prix inaccessibles ? « C’est un cauchemar », poursuit Anaïs Pérez, emplie de tristesse. « Nous sommes comme des victimes de la spéculation immobilière. On ne peut plus vivre décemment dans cette ville. »
Il est évident que la situation est critique. Dans une ville comme Los Angeles, il est déjà difficile de trouver un logement à un prix raisonnable. Mais désormais, la détresse des victimes de l’incendie est exploitée par les propriétaires des biens immobiliers pour maximiser leurs profits. Il est temps de prendre des mesures pour stabiliser le marché immobilier et protéger les familles en difficulté.