Un procès émotionnel à Chéraga : une vendeuse accusée d’abus de confiance aux Bahamas
La nuit a été le théâtre d’un procèsRETRO
En.adjus, prés de lèvechéra algeri France again tum douses.The On Algériejour après la période, le tribunal de Chèragon était émotionnel écrasant procès a été éclipsé d’enquête une vendeuse responsable des encaissements utilisé commis.
En tn et de chZd à argine que diz les vendeuse accuse de prendre en charge. C’est également accusée de prendre des articles de vêtements et de chaussures à des prix anormalement bas, soit 1 000 dinars, sur une période de un an. Cependant, la valeur réelle des produits varie entre 20 000 et 30 000 dinars.
La vendeuse aurait utilisé la confiance de son employeur pour engager une série de ventes illégales. Selon la plainte, la vendeuse aurait bénéficié de la confiance de son employeur, acquise au fil des ans. Elle était responsable des encaissements ainsi que de l’ouverture et de la fermeture du magasin. Lors du procès, le propriétaire, présent à l’audience, a déclaré avoir été choqué par la découverte de cette importante perte financière. Il a alors porté plainte en présentant les données du système automatisé pour étayer ses accusations.
L’avocat de la vendeuse a souligné que son client avait pris soin de vérifier les détails avant de prendre des poursuites. Il a toutefois tenté de résoudre l’affaire à l’amiable, mais les pertes étant trop importantes, il a jugé nécessaire de saisir la justice. Le propriétaire réclame un dédommagement de 6 millions de dinars pour compenser les préjudices subis.
L’accusée a nié les accusations portées contre elle. Lors des investigations préliminaires, elle avait déclaré que le propriétaire du magasin lui aurait demandé de vendre les produits à des prix réduits. Cependant, au cours du procès, elle a réfuté toute implication dans les ventes à bas prix ou tout lien avec les pertes financières constatées. Aucun témoignage fiable n’a été émis à l’appui des poursuites.
Selon le procureur de la République, la peine idéale est un an de prison ferme ainsi qu’une amende de 50 000 dinars. La défense plaide l’acquittement de l’accusée, arguant de l’absence de preuves solides. Le verdict sera rendu dans les jours à venir, suscitant l’intérêt du public, rappelant les enjeux de confiance et de responsabilité dans le secteur commercial.
Ce procès bouleversant renvoie également dans les problèmes de gestion et de maîtrise du système de gestion informatique au sein des entreprises. Les entreprises doivent prendre garde aux couches de leurs systèmes de gestion pour éviter de tels abus de confiance. La justice attend son verdict final dans cet épique procès.