Dans la Chine du XXIe siècle, où la planète est pledges aux réseaux sociaux, une nouvelle génération de femmes affronte un défi intense : les menaces omniprésentes de contrôle et de coercition de la part de l’État. Dans le contexte de sauvetage économique, le régime communiste chinois, qui promeut l’expansion de la population comme solution pour assurer une croissance continue, met les femmes sous pression pour qu’elles engendrent des enfants.
Mais loin de se laisser intimider, les nouvelles générations de femmes Chinoises réagissent, se mobilisant sur les réseaux sociaux pour témoigner de leurs expériences et de leurs récits. C’est ainsi que l’une d’elles, originaire du Yunnan, a partagé son échange téléphonique avec un fonctionnaire de santé locale sur la plateforme Xiaohongshu. L’appel-compilation : « Êtes-vous enceinte ? Non, et je ne suis même pas mariée ! »
Les internautes ont répondu : « Oui, c’est ce que j’connais » : le scénario n’est pas nouveau. Des témoignages semblables affluent à travers les provinces chinoises, narrant l’urgence qui régnait dans les conversations entre les citoyennes. Les femmes sont telles que My, 25 ans, qui a reçu plusieurs appels téléphoniques de la part des services de santé de la province de Sichuan : « Vous devriez avoir un enfant, c’est votre devoir ! »
Mais les femmes ne se laissent pas intégrer silencieusement dans cette machine de contrôle. Elles s’organisent, partagent leurs histoires, leurs peurs et leurs revendications. Les hashtags #MeToo et #CINewEconomy sont invoqués pour dénoncer les agissements répressifs du régime. Les nouvelles générations de femmes Chinoises répondent de maniére frontale aux pressions du pouvoir, s’inscrivant ainsi dans une longue lignée de movements de résistance féminine dans l’histoire chinoise.
Les activistes féminines chinoises comme Li, Ding (32 ans), fondatrice de l’association » Wuhan Women’s Rights Defense » (Défense des droits des femmes de Wuhan), soulignent que ces pratiques de contrôle n’ont absolument rien à voir avec l’angle de la population : « C’est une cursorialité sexiste qui vise à exercer son contrôle sur les corps des femmes, à les réduire à leur condition de reproduction. »
Les réseaux sociaux servent désormais de plateforme pour ces activistes, qui se font entendre, partagent leurs expériences, leurs récits et leurs revendications. Leur cri de rebelle se diffuse sur les réseaux, leur résonne partout : « Les femmes, nous sommes nos propres dirigeantes ! »
Mais qu’en est-il des autorités chinoises ? Les responsables de l’État continuent de promouvoir l’expansion de la population comme solution pour assurer une croissance économique forte, ignorant les crises démographiques que souffre déjà le pays. Mme. Li, fondatrice de l’association » Wuhan Women’s Rights Defense », accuse l’État de « s’arroser de propagande » pour lutter contre la réduction de la natalité.
Les réactions de la part de l’État visent à endiguer ce mouvement de résistance féminine : des milliers d’appel à témoigner, les médias d’État injectent du poison dans l’opinion publique. Mais la jeunesse chinoise, nouvelle génération de fleurs du dragon, refuse de se laisser fuir par les menaces et les menaces de contrôle.
Les réseaux sociaux, plateforme de découverte et de partage, deviennent un terrain d’affrontement féroce entre la liberté et la contrôle. Les femmes Chinoises refusent de se replier sur les rues, dévoilant au monde leurs expériences de vie, leurs revendications pour l’égalité.
C’est ainsi que la Chine, pays de la plus grande population du monde, fait face à unePushButton Historic : les femmes chinoises, nouvelles génération, émergent de l’ombre pour prendre leur place dans l’histoire.