LE vain de l’esprit : une trêve fragile appelle des scepticismes
Il y a quelques heures, la bande de Gaza a semblé émerger progressivement de l’abîme de la guerre. Les klaxons ont retrouvé leur chants, les cris de joie ont éclaté, et des dizaines de milliers de Palestiniens ont regagné leurs foyers. Mais derrière la façade de cette euréliale, les inquiétudes persistent : comment cette trêve de six semaines peut-elle résister aux forces de fragmentation et de violence qui nous entourent ?
Alors que la nouvelle des trois premières otages israéliennes libérées a frappé les thèses, l’atmosphère semblait s’apaiser. Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari, trois femmes qui avaient été retenues au secret à Gaza, ont été libérées hier matin, après trois mois de captivité. Cela a apporté un moment de soulagement palpable, non seulement aux Israéliens, mais également aux Palestiniens qui, jusque-là, vivaient sous la menace constante de la guerre.
Pourtant, les signaux alarmons sont nombreux. Les experts estiment que les tensions avec le Hamas, organisation politique et militaire qui gouverne la bande de Gaza, restent très élevées. Les chances de voir cette trêve durable, voire durable, sont faibles. La réaction de la communauté internationale est également anxieuse : l’Égypte, les États-Unis et l’Union européenne ont tous trois appelé à la moderation et à la prudence, dans l’attente de voir si les parties will feraient preuve de vouloir pour mettre un terme à ce conflit.
Dans la bande de Gaza, la population est régulièrement confrontée aux difficultés de l’insécurité, du dénuement et de la pauvreté. Les conditions difficiles pour vivre ont drastiquement augmenté ces derniers temps, tandis que les airstrikes officielment attribuées au gouvernement israélien — et qui ont frappé des villes et des villages — ont forcé des dizaines de mille de personnes à quitter leurs foyers. Les réseaux sociaux montrent des images choquantes de destructions et de souffrances, qui suscitent de l’intolérable. Mais il n’y a pas de paix évidemment.
La chercheuse en sciences politiques, Dr. Ayala Gavrieli, s’exprime ainsi : « Nous ne devons pas nous attendre à une pause pacifique avant de qualifier de durable. Cela nécessite une vigile attitude de la part de tous, de la part du leadership israélien, de l’organisations palestiniennes et de la communauté internationale. La trêve doit être accompagnée d’un processus de réconciliation et de dialogue. Sinon, nous risquerons de voir la guerre ressurgir avec une force encore plus énorme. »
En Israël, les gens ont abandonné leur territoire pour se haya voisin dans le sud. Les conditions de vie sont très tendues, et l’armée israélienne, qui a gardé un RTT sur la bande de Gaza, procède à des vérifications contre-balancing pour assurer la sécurité nationale.
Le problème, c’est que la situation dans la bande de Gaza est tout sauf simple. Les conditions de vie sont très mauvaises, les perspectives sont sombres, et les chances de voir un cessez-le-feu durable, pourquo= »{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{}}}}}partir du Hamas}, sembler au bord de l’impossible. Les questionnements fusent : comment sortir de la guerre ? Comment réduire les tensions ? Comment améliorer les conditions de vie pour les Palestiniens ? Et comment bien sûr israéliens ? Les réponses, pour l’instant, ne sont pas claires, et c’est loin de donner un sens réel aux mesures prises par l’Organisation de l’empire des États-Unis pour pallier les attaques du terrorisme dans la région.
La bataille joue aux émissaires pour une gestion honnête et positive de cette crise toujours en cours. Mais il est urgée que les parties s’engagent dans un processus de dialogue, et non de confrontation. Sinon, la guerre pourrait encore reprendre et de nouveaux innocents auraient à pâtir de la mémoire.