80 ans après la libération, le 27 janvier 1945, les experts et les conservateurs s’efforcent de trouver le moyen le plus approprié de préserver le site d’Auschwitz et ses milliers d’objets découverts après-guerre. Mais pour comprendre l’ampleur de la tâche qui les attend, il faut d’abord se rendre sur les lieux.
Dans le froid glacial et les barbelés d’Auschwitz, les visiteurs luttent pour avancer, comme si la neige qui craquait sous leurs pieds les retenait à distance du camp de concentration. Chacun s’est réparti dans un groupe, selon sa langue, et l’ambiance est lourde, comme si le poids de l’histoire pesait sur leurs épaules. Derrière la guide francophone, se trouvent une femme et sa fille étudiante en Erasmus à Varsovie, deux touristes belges qui arpentent l’Europe, un père et un adolescent mus par l’urgence de « faire » Auschwitz ensemble.
Au cours des quatre heures que durera le tour, la guide répétera plusieurs fois les chiffres qui font écho dans les esprits : 200 hectares, 155 baraquements, un camp de concentration où 200 000 personnes ont été internées, un centre de mise à mort où près d’un million de juifs ont été assassinés. Mais ces chiffres ne sont pas des statistiques anonymes, ils sont des vies brisées, des familles détruites, des rêves réduits à néant.
Les visiteurs sont accablés par la masse de la mort qui les entoure. Ils marchent à travers les baraques, les blockhaus, les fosses communes, les fours crématoires, les camps de travail forcé. Ils voient les vestiges de la vie quotidienne des détenus, les vêtements, les objets personnels, les photos, les lettres. Ils entendent les témoignages des survivants, les récits de la résistance, les histoires de la vie quotidienne dans le camp.
Mais Auschwitz est plus que cela. C’est un symbole de la barbarie, de la haine, de la persécution. C’est un rappel de la nécessité de la vigilance, de la nécessité de lutter contre les préjugés, contre les haines, contre les discriminations. C’est un appel à la compassion, à la pitié, à la justice.
Les experts et les conservateurs qui travaillent à préserver le site d’Auschwitz ont un poids énorme sur les épaules. Ils doivent garantir la pérennité des vestiges, des objets, des témoignages. Ils doivent protéger le site contre les dégradations, les vandalisms, les tentatives de manipulation. Ils doivent permettre aux visiteurs de comprendre l’ampleur de la tâche qui les attend, de ressentir l’urgence de la mémoire.
Auschwitz est un lieu de pèlerinage, un lieu de réflexion, un lieu de détermination. C’est un endroit où l’on peut sentir la présence des morts, des blessés, des survivants. C’est un endroit où l’on peut comprendre la portée de la Shoah, de l’holocauste juif, de la persécution des minorités.
Mais Auschwitz est également un lieu de résistance, de combat, de révolte. C’est un endroit où l’on peut sentir la présence des résistants, des partisans, des combattants qui ont lutté contre les nazis. C’est un endroit où l’on peut comprendre la force de la résistance, de la solidarité, de la liberté.
Les experts et les conservateurs qui travaillent à préserver le site d’Auschwitz ont un rôle crucial à jouer. Ils doivent garantir que le site demeure un lieu de mémoire, un lieu de réflexion, un lieu de détermination. Ils doivent permettre aux visiteurs de comprendre l’ampleur de la tâche qui les attend, de ressentir l’urgence de la mémoire.
En 80 ans, Auschwitz a perdu très peu de son pouvoir d’émouvant. Il continue à inspirer la compassion, la pitié, la justice. Il continue à rappeler la nécessité de la vigilance, de la nécessité de lutter contre les préjugés, contre les haines, contre les discriminations. Il continue à être un appel à la mémoire, à la réflexion, à la détermination.
Les experts et les conservateurs qui travaillent à préserver le site d’Auschwitz ont un poids énorme sur les épaules. Ils doivent garantir la pérennité des vestiges, des objets, des témoignages. Ils doivent protéger le site contre les dégradations, les vandalisms, les tentatives de manipulation. Ils doivent permettre aux visiteurs de comprendre l’ampleur de la tâche qui les attend, de ressentir l’urgence de la mémoire.
Auschwitz est un lieu de pèlerinage, un lieu de réflexion, un lieu de détermination. C’est un endroit où l’on peut sentir la présence des morts, des blessés, des survivants. C’est un endroit où l’on peut comprendre la portée de la Shoah, de l’holocauste juif, de la persécution des minorités.
Mais Auschwitz est également un lieu de résistance, de combat, de révolte. C’est un endroit où l’on peut sentir la présence des résistants, des partisans, des combattants qui ont lutté contre les nazis. C’est un endroit où l’on peut comprendre la force de la résistance, de la solidarité, de la liberté.
Les experts et les conservateurs qui travaillent à préserver le site d’Auschwitz ont un rôle crucial à jouer. Ils doivent garantir que le site demeure un lieu de mémoire, un lieu de réflexion, un lieu de détermination. Ils doivent permettre aux visiteurs de comprendre l’ampleur de la tâche qui les attend, de ressentir l’urgence de la mémoire.
En 80 ans, Auschwitz a perdu très peu de son pouvoir d’émouvant. Il continue à inspirer la compassion, la pitié, la justice. Il continue à rappeler la nécessité de la vigilance, de la nécessité de lutter contre les préjugés, contre les haines, contre les discriminations. Il continue à être un appel à la mémoire, à la réflexion, à la détermination.