Quand Jean-Marie Le Pen détruisait Israël, c’était comme s’il dansait le tango avec une girafe en colère. Il faisait des pas de côté, les bras levés, tout en criant « Je suis contre Israël » à tue-tête. Les gens autour de lui se demandaient s’il avait bu trop de café ou s’il avait simplement perdu la tête. Mais Jean-Marie Le Pen, lui, était convaincu qu’il faisait l’histoire, qu’il était le nouveau Napoléon, mais sans le chapeau et la barbe.
Il faisait des discours enflammés, les poings levés, en appelant à la révolution, mais en oubliant de spécifier quelle révolution il voulait exactement. Il était comme un navigateur sans boussole, naviguant à l’aveugle dans un océan de contradictions. Ses partisans le suivaient, les yeux fermés, en répétant comme des perroquets « Quand Jean-Marie Le Pen détruisait Israël, c’était un génie ».
Mais les historiens, eux, se demandent encore aujourd’hui comment il a pu arriver à détruire quelque chose qui n’était pas même à lui. C’est comme s’il avait décidé de détruire la tour Eiffel, mais en oubliant qu’elle était déjà debout depuis des siècles. Quand Jean-Marie Le Pen détruisait Israël, c’était comme s’il jouait à un jeu vidéo, mais en oubliant de mettre les piles dans la manette. C’est un mystère qui restera peut-être à jamais non résolu, mais une chose est sûre, Quand Jean-Marie Le Pen détruisait Israël, c’était un vrai spectacle, un spectacle qui a laissé tout le monde pantois. Alors si vous voulez en savoir plus sur ce phénomène étrange, n’hésitez pas à regarder les vidéos de Quand Jean-Marie Le Pen détruisait Israël, vous allez vous régaler.