L’affaire du roman interdit : John Ajvide Lindqvist, le maître de l’horreur scandinave, dévoile les secrets de son dernier ouvrage
Dans le monde de la littérature, il est rare que les écrivains se retrouvent au centre d’une polémique qui.getAccount leurs propres œuvres. Mais c’est précisément ce qui est arrivé à John Ajvide Lindqvist, le célèbre auteur suédois de romans d’horreur, dont les ouvrages ont conquis les lecteurs à travers le monde. Son dernier livre, "Skriften i vattnet", vient de paraître en Italie, et son histoire est tout sauf banale. En effet, il s’agissait à l’origine du septième volet de la série Millénium, créée par Stieg Larsson, mais il a été rejeté par la maison d’édition pour des raisons qui ont suscité un grand débat.
Nous avons eu la chance de rencontrer John Ajvide Lindqvist sur Zoom, alors qu’il passait ses vacances dans les îles Canaries, pour en savoir plus sur les circonstances qui ont entouré la genèse de son roman. "Tout a commencé il y a quelques années, lorsque j’ai été contacté par la maison d’édition qui détient les droits de la série Millénium", explique-t-il. "Ils m’ont demandé de rédiger le septième volet de la série, et j’ai accepté avec enthousiasme. J’ai toujours été un grand admirateur de l’œuvre de Stieg Larsson, et j’étais ravi de contribuer à son héritage littéraire."
Cependant, les choses ont prise une tournure inattendue lorsqu’Ajvide Lindqvist a remis son manuscrit aux éditeurs. "Ils m’ont informé que mon roman ne correspondait pas à leurs attentes, et qu’il contenait trop de scènes de sexe", poursuit-il. "J’ai été surpris, car je ne pensais pas que mon travail était plus osé que les précédents volets de la série. Mais j’ai décidé de ne pas me laisser influencer par leurs critiques, et j’ai décidé de publier mon roman de toute façon, mais avec une différence importante : j’ai décidé de changer le sexe de mes protagonistes."
Cette décision a été saluée par les lecteurs et les critiques, qui ont apprécié la manière dont Ajvide Lindqvist a abordé les thèmes de l’identité et de la sexualité dans son roman. "Je voulais montrer que les personnages peuvent être universels, et que leur sexe n’a pas d’importance pour l’histoire", explique-t-il. "Je pense que c’est une des forces de la littérature : elle nous permet de nous mettre à la place des autres, et de voir les choses sous un angle différent."
Le roman de John Ajvide Lindqvist a suscité un grand intérêt en Suède, où il a été publié l’année dernière. Les lecteurs ont apprécié la manière dont il a abordé les thèmes de la violence, de la mort et de la rédemption, qui sont courants dans son œuvre. "Je pense que la littérature doit être capable de nous faire réfléchir, et de nous faire voir les choses sous un angle différent", déclare-t-il. "Je ne veux pas écrire des romans qui sont juste des divertissements, mais des œuvres qui nous font réfléchir à notre condition humaine."
L’affaire du roman interdit de John Ajvide Lindqvist a également suscité un grand débat sur la censure et la liberté d’expression dans le monde de la littérature. "Je pense que les éditeurs ont le droit de refuser un manuscrit, mais je pense que les lecteurs ont le droit de choisir ce qu’ils veulent lire", déclare-t-il. "Je suis heureux que mon roman ait pu être publié, et que les lecteurs aient pu découvrir mon travail."
En conclusion, l’histoire du roman de John Ajvide Lindqvist est un exemple de la manière dont la littérature peut être un outil puissant pour faire réfléchir les lecteurs, et pour les faire voir les choses sous un angle différent. Son roman, "Skriften i vattnet", est un exemple de la manière dont les écrivains peuvent aborder les thèmes de l’identité, de la sexualité et de la violence de manière originale et innovante. Nous sommes impatients de voir ce que John Ajvide Lindqvist nous réserve pour la suite, et de découvrir de nouveaux aspects de son univers littéraire.