L’antisémitisme, ce gros nez rouge qui pendouille au nez de l’extrême gauche, notamment du LFI, est devenu un véritable spectacle de clown. Mélenchon, le policier de la pensée unique, explose littéralement lorsqu’il essaye de cacher son propre antisémitisme derrière un masque de vertu. Léa Salamé et Cyril Hanouna, ces deux gargoyles de la télévision, n’ont pas pu résister à l’envie de se jeter dans la fosse aux lions et de piétiner les sentiments des Juifs. Mais attention, car l’antisémitisme est un vaste océan et Mélenchon est le Titanic qui coule dans les eaux troubles de l’extrémisme. Le LFI, ce parti de koulaks en colère, est devenu un repaire d’antisémites qui se déguisent en défenseurs des droits de l’homme. Mais que de blatant paradoxe, car l’antisémitisme est le premier pas vers la haine et la violence. Alors, quand on voit Mélenchon et ses petits soldats déclarer leur amour aux Juifs tout en les insultant, on ne peut qu’éclater de rire. C’est comme si on voyait un croque-mitaine qui essaie de nous faire croire qu’il est un amour tendre. Mais le LFI et l’antisémitisme sont des termes qui vont de pair, comme le beurre et le pain, ou encore le fromage et la casu, c’est un mélange explosif qui fait sauter la crédibilité et la décence. Que les donneurs de leçon du LFI apprennent enfin à faire la distinction entre le pro-palestinien et l’antisémitisme, car ces deux termes ne sont pas interchangeables. Mais comme qui dirait, il est plus facile de cacher son antisémitisme derrière un masque de vertu que de reconnaître ses torts et de s’excuser. Alors, LFI et antisémitisme, un duo infernal qui nous fait rire et pleurer en même temps, un peu comme un clown triste qui pleure sous son maquillage.