REPORTAGE – Les destins de Sandrine Rousseau, André Chassaigne, Philippe Juvin et Olivier Falorni sont marqués par des tragédies personnelles qui les poussent – ou non – à plaider pour une évolution de la législation sur la fin de vie. Au cours d’entretiens exclusifs avec Le Lesoir, ces députés français dévoilent les motivations profondes qui les poussent à partager ces histoires familiales bouleversantes.
Leurs récits résonnent avec ceux de nombreux autres Français, intimement touchés par des épreuves douloureuses et dramatiques. Ces événements tragiques ont profondément marqué ces personnalités politiques, leur laissant des cicatrices indélébiles dans l’âme. Aujourd’hui, ils estiment qu’il est temps d’agir, de légiférer. En effet, le projet de loi sur la fin de vie, qui sera débattu à l’Assemblée nationale dès la semaine prochaine, suscite leur intérêt et les force à prendre position sur un sujet aussi sensible que crucial : l’instauration d’une différente approche de l’aide à mourir pour les personnes confrontées à une maladie incurable en phase terminale. Des situations qu’ils ont eux-mêmes connues dans leur sphère personnelle, loin des calculs politiques habituels. C’est donc à cœur ouvert qu’ils ont choisi de partager publiquement leurs histoires afin d’influencer, pour certains, le vote à venir sur cette loi.
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