Viktor Orban, qui a annoncé dimanche le lancement d’un nouveau groupe à Strasbourg, va faire de cette présidence semestrielle une tribune politique.
La première présidence hongroise du Conseil de l’Union européenne, qui débute ce lundi 1er juillet, suscite des interrogations et des inquiétudes parmi les dirigeants européens, les eurodéputés et les diplomates. La Hongrie est loin d’être le meilleur élève de l’UE. Elle a été sanctionnée à plusieurs reprises pour ses violations de l’État de droit : atteinte aux droits des personnes LGBT et des demandeurs d’asile, insuffisances dans la lutte contre la corruption… Dix-neuf milliards d’euros de fonds européens sont gelés par la Commission.
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