Une œuvre visuelle d’Interparfums mettant en lumière les précieux parfums de Van Cleef & Arpels. Appartenant au groupe suisse Richemont, la prestigieuse marque de haute joaillerie a octroyé sa première licence (d’une durée de 12 ans) au parfumeur français fin 2006, suivi d’un premier renouvellement (pour six ans) en janvier 2019, puis d’un deuxième (pour neuf ans) qui vient tout juste d’être annoncé, à partir de janvier 2025.
Notre conseil d’action sur Interparfums – Chez le parfumeur spécialisé dans les marques de luxe, la croissance est de retour au deuxième trimestre. Et le renouvellement de la licence Van Cleef & Arpels est une bouffée d’air frais bien méritée.
Qui dit mieux? A la Bourse de Paris, l’action Interparfums a grimpé jusqu’à 17% ce matin, se hissant en tête des plus fortes hausses de l’indice SBF 120. Même si, sur une période d’un an, elle affiche encore une baisse d’environ 21%.
Le parfumeur spécialisé dans les marques de luxe a annoncé deux bonnes nouvelles : d’une part, le « risque Richemont », qui pesait sur le titre depuis environ un an, s’est atténué, voire dissipé. Et d’autre part, le groupe a confirmé son statut de valeur en croissance.
Pas de « cartierisation » de Van Cleef & Arpels!
Rappel de l’épisode précédent : Interparfums possède quelques marques en propre, telles que Lanvin et Rochas. Mais pour la majeure partie, son activité découle de licences accordées, par contrat, par des marques de luxe. Le groupe suisse Richemont détient notamment Cartier, dont les parfums sont produits en interne. Mais aussi Montblanc, qui représente la principale contribution aux ventes d’Interparfums : cette licence représente près d’un quart de l’activité du groupe.
Ainsi que Van Cleef & Arpels (VC&A) qui, même si elle est…
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