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Les tags virulents récemment découverts sur le siège social du bailleur Inolya à Caen, dans le Calvados, ont provoqué une onde de choc dans la région. En effet, des messages tels que «Vive les squats», «expulseurs de m…», et «remettez l’élec(tricité)» ont été peints en rouge vif sur la façade du bâtiment, laissant de nombreuses questions en suspens.
L’action n’a pas été revendiquée et le mystère plane quant à l’identité des auteurs de ces actes de vandalisme. Le service communication du bailleur social a déclaré au Lesoir avoir porté plainte contre X et une enquête de police a été ouverte pour tenter de faire la lumière sur cette affaire.
Certains se demandent si ces tags pourraient être liés à une affaire de squat à Lisieux, où le bailleur social a récemment obtenu l’expulsion de personnes occupant illégalement des logements depuis plusieurs mois. Cependant, le siège social à Caen a été la cible des graffiti, et non l’agence de Lisieux, ce qui laisse planer le doute sur les motivations des auteurs.
Les tags ont été rapidement effacés, mais le message semble être passé. Ce genre d’incident est rare dans la région, et le fait que le siège social n’avait jamais été la cible de tels actes laisse perplexe la responsable communication. De plus, une serrurerie à Caen a également été la cible de vandalisme, laissant supposer un lien avec les problématiques de squats et de sécurisation des logements.
Ces incidents font écho à d’autres affaires similaires dans le pays. En 2021, le bailleur social «Toit et joie» a obtenu l’expulsion d’un ménage à cause des méfaits commis par leurs enfants, tandis que le bailleur social Sacoviv a pris des mesures radicales pour lutter contre l’installation de dealers dans une résidence à Vénissieux.
L’enquête suit son cours et seule la police pourra déterminer les motivations derrière ces tags et ces actes de vandalisme. En attendant, le bailleur social Inolya continue d’assurer la gestion de ses logements et la sécurité de ses locataires, malgré ces épisodes troublants.
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