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Aujourd’hui, huit ans après son ouverture, Aspic Paris n’a toujours pas de menu, mais propose un unique et immuable déroulé de sept plats.
SORTIR À PARIS – Un mois après, l’adresse affiche complet. Cette fois, on laisse Michelin à ses jugements hâtifs.
Chaque année, ces établissements sont simplement écartés de la liste. Une formule embarrassante pour s’en débarrasser, telle une serviette rapide pour effacer les miettes. On ne parle plus de ces tables-là. On ne s’étend pas sur leur sort chaque mois de mars, lors de la sortie d’un guide prétentieux. Serait-ce une gêne maladroite qui préfère les laisser dans leur désespoir ? Ou bien une hypocrisie légère qui préfère leur tourner le dos ? Sans doute un mélange de ces deux sentiments. La veille, elles étaient distinguées. Le lendemain, elles sont brusquement secouées.
Entre les deux, Michelin a rendu son verdict. Sa justice est moins rigide que son injustice est brutale. Car, au tribunal de Bibendum, l’exception domine sur l’explication. Les étoiles viennent, partent, sans que l’on comprenne pourquoi ou comment, et on finit par réaliser que la couleur rouge de ce fameux guide est parfois synonyme de honte. On y devient roi sans vraiment savoir pourquoi…
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