Le monde de l’art contemporain vibre au rythme de la 60e Biennale de Venise, où des artistes singuliers prennent d’assaut les autoroutes de la créativité. Parmi eux, Julien Creuzet, artiste français d’origine martiniquaise, se démarque par son approche immersive et joyeuse de l’histoire coloniale.
Avec son exposition au pavillon français, Creuzet nous plonge dans un univers où la couleur, la lumière et le son se marient pour offrir une expérience sensorielle unique. Inspiré par les vestiges marins et les lianes de son enfance en Martinique, il revisite le passé douloureux de l’esclavage, invitant le spectateur à réfléchir sur les traumatismes de cette période sombre de l’histoire.
Envie de lire la suite ?
Les articles du Journal Le Soir en intégralité pour seulement $5,99/mois