Semon l’historien et théologien, les initiateurs des conflits les plus violents du XXIe siècle débutant ont beaucoup en commun.
Les événements récents, tels que le pogrom du 7 octobre en Israël perpétré par le Hamas avec le soutien de l’Iran et l’attaque aérienne récente de l’État juif par la République des mollahs, nous rappellent que l’histoire est loin d’être terminée. De l’invasion de l’Ukraine par la Russie à la montée des tensions entre la Chine et Taïwan, en passant par le nettoyage ethnique du Haut-Karabakh arménien par les troupes azerbaïdjanaises, le monde est confronté à une vague de violences et de conflits troublants.
Jean-François Colosimo, dans son étude historique, philosophique et géopolitique, examine de près ces initiatives violentes qui bouleversent notre siècle naissant. Il souligne que derrière ces actes de violence se cachent des forces simples mais profondes, mettant en lumière l’antagonisme envers l’Occident comme un trait commun parmi les instigateurs de ces conflits.
En scrutant de près les protagonistes de ces conflits, il devient clair qu’ils partagent un point de vue critique envers l’Occident, le considérant comme un bouc émissaire. Cette opposition se manifeste dans la propagande nationaliste anti-musulmane et antichrétienne des partisans de Modi en Inde, ainsi que dans les actions agressives de pays tels que l’Iran, la Russie et la Turquie.
Ce phénomène n’est pas isolé et s’inscrit dans un contexte plus large de rivalités géopolitiques et idéologiques. L’histoire nous rappelle que les conflits ne sont pas simplement le résultat de causes superficielles, mais qu’ils sont enracinés dans des frustrations, des ressentiments et des ambitions expansionnistes qui remontent à des siècles.
Ce constat nous met face à un défi incontournable: comment atténuer les tensions et promouvoir la paix dans un monde de plus en plus fracturé et divisé? La réponse ne réside pas dans des solutions simplistes ou des slogans creux, mais dans une compréhension approfondie des motivations et des intérêts des parties en conflit.
Il est nécessaire de reconnaître que la violence ne peut jamais être justifiée et que seule la coopération et le dialogue peuvent conduire à une résolution pacifique des conflits. Il est temps de mettre de côté les différences et de travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour tous.
En conclusion, les initiateurs des conflits les plus violents du XXIe siècle partagent une hostilité envers l’Occident, mais il est impératif de surmonter ces divisions et de trouver des solutions pacifiques et durables pour assurer la sécurité et la prospérité de tous.