La prévalence du syndrome d’Angelman, une maladie génétique non héréditaire, est estimée entre 1 sur 10 000 et 1 sur 20 000. Cette condition, qui se caractérise par un retard psychomoteur, une excitabilité et des malaises, affecte de nombreux enfants à travers le monde.
Sophie-Dorothée Montagutelli, une pédiatre française et présidente de l’Association française du syndrome d’Angelman, connaît bien cette maladie. Lorsque son fils Rémi a présenté des symptômes à l’âge de 11 mois, le diagnostic a été posé rapidement. Cependant, pour de nombreux autres enfants, identifier le syndrome d’Angelman peut être plus difficile en raison de la diversité des symptômes, tels qu’une déficience intellectuelle sévère, une épilepsie fréquente, un manque de langage oral et des troubles moteurs.
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