L’année 2022 a été marquée par une augmentation relativement modeste des avis de taxation sur les résidences secondaires par rapport à l’année précédente. Selon la Direction générale des finances publiques (DGFIP), cette augmentation se situerait autour de 3%. Cela signifie que de nombreux contribuables ont dû faire face à des montants plus élevés que prévu pour leur taxe d’habitation.
Une situation qui a créé la panique chez de nombreux particuliers, comme Garance, une étudiante de 19 ans à Paris. En recevant un avis de taxe d’habitation d’environ 1930 euros pour son appartement, elle s’est retrouvée démunie, ne disposant pas d’une telle somme. Or, la suppression définitive de la taxe d’habitation sur les résidences principales pour tous cette année aurait dû exclure Garance et tant d’autres de ce fardeau fiscal inattendu.
Envie de lire la suite ?
Les articles du Journal Le Soir en intégralité pour seulement $5,99/mois