Le paysage défile à une vitesse vertigineuse de 350 km/h, alors que le train reliant Wuhan à Pékin, sur une distance équivalente à un trajet Nice-Lille, ne met que quatre heures pour parcourir la distance. Cette performance impressionnante, qui contraste avec les longs trajets en France, a suscité l’émerveillement parmi les membres de la délégation française réunis en Chine par Mobilians, l’organisation professionnelle des métiers de l’automobile. Ils ont rapidement réalisé que la Chine n’a plus besoin de leçons en matière de transport ferroviaire.
Dans le wagon tricolore, les échos du séjour de 48 heures à Wuhan, devenu un pôle incontournable de l’industrie automobile en Chine, résonnent encore dans l’esprit des participants. Certains semblent étourdis par cette immersion dans le monde industriel chinois, tandis que d’autres…
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