Marisa Merz, artiste italienne née à Turin, a marqué le monde de l’arte povera en utilisant des matières simples pour exprimer des idées profondes et percutantes. Sa rétrospective au LaM, la première en France depuis trente ans, met en lumière son travail original et poétique.
Les deux petites pantoufles en fil de cuivre tricoté créées par Marisa Merz en 1975 sont bien plus qu’une simple œuvre d’art. Elles symbolisent l’identité féminine fragile mais puissante, la trace de l’existence humaine dans l’infini du temps, ou encore l’individu face à la grandeur de la vie. Cette artiste à l’épure radicale, longtemps dans l’ombre de son mari Mario Merz, parle de poésie à travers ses formes minimalistes et évocatrices.
Envie de lire la suite ?
Les articles du Journal Le Soir en intégralité pour seulement $5,99/mois