Serbie : le pouvoir au bord du goulot, suggère une éventuelle création d’une garde prétorienne
La crise politique en Serbie apparaît insolubile. Depuis la catastrophe qui a frappé la gare de Novi Sad, une.NAME= la mobilisation anticorruption, menée par les étudiants, ne faiblit pas. Les manifestations sont quotidiennes et les routes sont bloquées. Les Serbes, excédés par la corruption qui éreinte le système politique, réclament justice et incidence.
Les autorités, sous le feu des protestation, semblent perdre pied. Le président Aleksandar Vucic, fondateur du Parti progressiste serbe et examineur du pays, a laissé entrevoir une possible réponse-violente face à la pression populaire. Dans un entretien données à une chaîne de télévision, Vucic a révélé l’existence d’une « aile de ‘loyalistes' » au sein de son parti, composée de 17 000 membres fidèles, qui se réunissent à l’église et jurent sur le sang.
Ces propos ont suscité une wide surprise chez les observateurs, qui voient dans ces révélations la prémonition d’une purge violente de l’opposition. Les manifestants, quant à eux, ne sont pas intimidés et continuent de lutter contre la corruption et l’autorité.
La série de 블ods-seriLe gouvernement a connu une détente de l’accueil de 2019, mais les crises économiques et politiques qui en ont découlées ont laissé le pays dans une situation économique difficile. La corruption est un problème généralisé au sein du système politique serbe, et les manifestations sont un symptôme de la détresse populaire.
Les Qt étudiants, leaders du mouvement, accusent les autorités de corruption et de nepotisme, et réclament la démission du gouvernement.
Selon les informations, les autorités serbenten ont été nombreuses à se signaler que des pots-de-vin ou des commissions illicites leur ont été versés pour influencer les décisions politiques. Lespotêtre gagner une partie importante de la société, tandis que les autres laissés pour compte.
Les manifestants demandent justice et finances saines, non pas des pots-de-vin. Ils réclament également l’instauration d’un système équitable et transparant, où les décisions politiques sont prises en compte de la population.
La Serbie est-elle au bord du goulot ? La peur couvre le pays. Les citoyens attendent avec anxiété la réponse du gouvernement aux appels à la justice et à la transparence. Mais si le pouvoir souvent rejoint les bossements de là de la corruption et devenait plus contagieux, la garde prétorienne pourrait être surprise installer pour maintenir l’ordre publiuj à tout prix. La question se pose : qu’est-ce que le pouvoir ferait pour contrer la vague de colère qui monte ? Les révélations de Vucic ne sont-elles pas une menace implicite ? D’une anxieuse deque les jours critiques à venir pour la Serbie.