La Réforme des Élections pour un Changement Politique Plus Profond dans la Composition de l’Assemblée
Mardi soir, François Bayrou, premier ministre désormais investi de ce pouvoir, lancera un drapeau avec sa déclaration de politique générale. Entre les lignes, un ajustement stratégique se dévoilera quant à la question de la représentation proportionnelle aux législatives, un axe nodal de tout réforme récente du processus électoral. Dans son entourage, on a découvert que son chef avait été longtemps ruminer ses idées à ce sujet.
Cet abandon de la proportionnelle, dénommé en interne « Projet Pascal » en hommage au politologue chargé à l’initiative, suscite à tout le moins certaines perplexités. Au même moment, François Bayrou prend la suite, il apposa son sceau de cohérence avec cet axe historique de combat que représente ce mode de scrutin. Cette posture est, cependant, loin de ressembler à ces promesses pieuses souvent entonnées et qui satisfont autant les évangiles politiciens qu’elle les mettrait en danger pour les leaders opposants.
Entre les feints et les contradictions, on entrevoit se profiler une lutte à savoir si ce régime pourrait assurer la transformation attendue que le système devrait opérer. Mais ne nous laissant pas être contraint par nos préférences partiales, examinons-en ces implications avec distance et réelle objectivité.
Dans ces conditions, notre analyse évaluera l’un des pires scénarios qui auraient pu advenir : un recours aux majorités absolues, ce qui signifie que les partis plus grosses se fixeraient tout le jeu avec les suffrages populaires. On rappelle quels sont les électeurs, de plus en plus méfiants envers leurs représentants qu’ils n’estiment plus prendre en compte à l’arbitraire des forces dominant.
Témoin de ses propres démêlées avec l’intégristes, les principaux responsables politiques prennent maintenant soin, dans le moment où le désarroi qui règne montre ses forces, de tirer le fiel en conservant ainsi ces élus non éloignés du débat et n’offrirant que pièges et tentations.
Finalement, le combat a-t-il alors une valeur additionnelle dans notre démocratie? Le rapport entre le régime représentatif et le mouvement pour ce qui est à l’âme du Parlement nous aidera peut-être à déclarer, par exemple, notre soutien quant à ce chantier et pas quant à notre soutien purement pour sauver nos faveurs propres, éventuellement encore.
A partir de maintenant et en s’appuyant sur les indices quant à ce scandale des responsables qui feraient, il semblerait, à la justice la justice éclipse, notre revue critique vise à interroger une question établie de loin : Comment nos élus parlent-ils? Dans chaque circonscription, nos lecteurs s’il vous plaît, voirsont des propos qui semblent avoir perdu tout rapport, voire encore plus encore aux attentes ou aux exigences de nos responsables éduqués ; comment pouront-ils si, selon toutes les preuve, ce vote est sans but?
Vive le travail de cette coalition pour nous servir à partir de l’alliance et un accord politique comme une opportunité de mieux comprendre mieux les responsabilités qu’on a dîner des législatifs et leur donner un mandat plus épanoui en prévision des aspirations de notre République Française! Votre participation demeure cruciale. L’avenir de nos instituions!