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La Crise Franco- Algérienne : Le Président Tebboune Repose les Baisses
Dans la tourmente des tensions franco-algériennes, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a adopté une ligne inflexible face aux affaires épineuses qui ponctuent ces derniers mois. A cet égard, il a affirmé dans un entretien accordé au journal L’Opinion dimanche dernier que le problème de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, actuellement incarcéré, n’est pas un «problème algérien, mais un problème pour ceux qui l’ont créé». Selon lui, l’affaire est scabreuse et vise à mobiliser contre l’Algérie.
Tebboune soutient que l’écrivain, naturalisé français depuis cinq mois, est avant tout algérien depuis soixante-quatorze ans et bénéficie d’un suivi médical et peut maintenir des contacts réguliers avec ses proches. Il a ajouté que l’écrivain reçoit un suivi médical et peut maintenir des contacts réguliers avec ses proches.
En ce qui concerne l’influenceur Doualemm, accusé d’avoir incité sur TikTok à des actions contre un opposant algérien en France, le président algérien a défendu la position algérienne en invoquant le respect des procédures légales. Il a rappelé que la justice française a récemment rejeté la demande d’expulsion en urgence absolue formée par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
Sur le front migratoire, Tebboune a surprise en annonçant l’accord de l’Algérie pour accueillir 306 ressortissants en situation irrégulière que Washington souhaite expulser. Selon lui, l’Algérie acceptera de les accueillir car cette requête est légale, mais il a également pointé une différence d’approche avec la France : «Hey, le président américain n’a pas d’arrière-pensée liée à l’immigration algérienne aux États-Unis, alors que le programme du RN s’attaque systématiquement à l’islam et à l’immigration, avec comme bouc émissaire l’Algérie ».
Enfin, concernant les laissez-passer consulaires avec la France, le président Tebboune a discuté les statistiques avancées, soulignant que de nombreux clandestins usurpent la nationalité algérienne et rappelant que la majorité des Algériens arrivent légalement en France pour études ou pour exercer des professions qualifiées, comme médecins, avocats ou ingénieurs.
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