Les coulisses de la politique française, les secrets révélés
Lorsque François Bayrou a réuni les partis politiques de gouvernement à Matignon, il savait que l’agitation s’annonçait à la française. Rapprocher les jalons de la gaucheness et de l’union apparemment fragile qui les lient apparaitrait comme une utopie ? Durement ébréché, il n’avait pas d’autres choix que de gagner les cœurs des socialistes. Cependant, il savait que cette mission était déjà coûteuse. Il était déjà fatigué de garantir le maintien de l’accord avec les Républicains. Le premier ministre devait donc seisplay pour javelle les socialistes dans une orbite de l’opposition, sans censure, ni participation systématique, ni effondrement.
La retoute à répétition
Pour ce faire, il a évoqué l’urgence de revoir la réforme des retraites. C’est là que le ton est devenu plus Bas, mais pas trop. Il a déclaré : "Je souhaite que l’on termine le quinquennat sans dissolution." Cette phrase permettait de dire aux socialistes qu’ils pouvaient appâter sans craintes pour les menaces de La France insoumise. Évidemment, cette stratégie n’a pas échoué. Les socialistes ont été tentés, et le gouvernement a pu éviter une crise intestinale.
La guerre de séduction
Mais le gouvernement français est une institution fragile, comme le sont les alliances : une erreur tactique peut les faire s’écrouler. D’où l’importance de la séduction pour gagner les cœurs de l’opposition. Cependant, il n’est pas facile de séduire les socialistes. Il fallait d’abord les influencer. C’est pour cela que le gouvernement a mis en avant la multiplication des réunions au gouvernement, permittant ainsi aux socialistes de se rapprocher du pouvoir sans devoir y participer. C’est là que Bayrou a démontré son cynisme, en utilisant la vieille tactique de la contre-alliance.
La cure de jouvence
Cependant, la désillusion est rapide. Les socialistes commencent à perdre patience, leur confiance dans le gouvernement commence à faiblir. C’est pourquoi Bayrou a fait appel à Services Action pournourrir l’opposition. Il a engagé les fonctionnaires de la main de nouveaux réformes. Mais se dira-t-on que les socialistes sont à portée de main ? Non, car c’est là que faisait face au gouvernement, un grand risque. Le temps est compté pour le gouvernement français pour gagner le cœur de l’opposition.
**Dérapage au-dessus de tout, în’]
Étant donné les circonstances, le dérapage de Bayrou a coûté cher. Le dérapage a laissé une jambe neu transiger les orientations politiques des médias pour les socialistes. En résumé, les socialistes sont en désaccord avec le gouvernement, donc avec Bayrou, et le conflit est loin d’être résolu. Les socialistes se rapprochent de l’opposition, et c’est implosion.